Je ne vais pas chez le psy, je fais des Interviews. C'est gratuit et il y a de jolies photos qui vont avec.
Sophie Marceau
Je ne vais pas chez le psy, je fais des Interviews. C'est gratuit et il y a de jolies photos qui vont avec.
Sophie Marceau
La psychopathologie est l'étude des structures psychiques et des pathologies mentales.
Dit comme cela, rien de très attayant. Pourtant, grâce à un formateur exceptionnel, Bruno Dal-Palu, ces notions à priori sérieuses et rébarbatives (lisez un livre de psyopathologie et vous comprendrez !) deviennent lumineuses, "simples" et facilement intégrables dans des stratégies thérapeutiques conscientes et efficaces.
Avec lui, vous découvrirez la différence entre peurs, angoisses et anxiété, les moyens simples pour différencier un client névrosé ou probablement "État limite", les limites des thérapies brèves, le transfert et contre transfert, les portes piégés de chaque type de client, etc. Et tout cela en vous amusant, grâce à son humour constant...
De l'avis de l'ensemble de la "profession psy", les psychothérapeutes devraient TOUS être formés en psychopathologie.
Chez Génération Formation, nous aimons la liberté. Si nous parlons ici d'obligation, c'est que la sécurité des futurs patients est primordiale.
Il peut y avoir des risques à pratiquer de l'hypnose avec quelqu'un qui est déjà dissocié. Il peut être dangereux de faire une régression en âge à quelqu'un qui n'est pas assez structuré psychiquement. En cas de décompensation, attention !...
Les connaissances en psychopathologie permettent cette vigilance consciente, sans parler d'adapter son traitement diffréremment en fonction des troubles de personnalité de nos patients / clients. On ne traite pas de la même façon une personne de type obsessionnel ou hystérique.
Le principe de base ici est, comme en médecine : en premier, ne pas nuire !
Bien sûr cette formation en psychopathologie peut être suivi par toute personne voulant mieux connaitre la psyché humaine. Si quelqu'un veut venir en curieux, sans but professionnel, il va être servi !
Mais au-delà de comprendre mieux les êtes humains, se former en psychopathologie est essentiel (et même obligatoire) pour tout thérapeute qui reçoit des clients en cabinet libéral. Que ce soit un hypnothérapeute, un psycho-praticien, un coach ou un spécialiste en TCC, chaque professionnel doit pouvoir montrer, en cas de contrôle, qu'il a bien une réelle connaissance des mécanismes psychiques humains.
En dehors d'être en phase avec la légalité, savoir repérer la différence entre un type et un trouble de personnalité, connaître clairement les notions de transfert et de contre-transfert, repérer les troubles du DSM V (la bible des psychiatres américains)... permet à tout professionnel d'orienter ses stratégies thérapeutiques au mieux des besoins de son client.
Et, au delà d'être compétent, de protéger nos clients d'une remarque ou d'un exercice dommageable. Et de protéger son entourage, ainsi que nous-même, d'une décompensation violente après une séance trop confrontante par exemple.
Chez Génération formation, nous disons souvent à nos stagiaires qu'à nos yeux, un professionnel digne de ce nom devrait se former en respectant au minimum ces 4 conditions :
Vous retrouverez ces 4 conditions minimum dans les deux Parcours Thérapeute que nous préconisons : le Parcours PNL et le Parcours hypnose (70 jours de formation dont 12 de psychopatho + 30 séances perso + être supervisé)
C'est une structure solide, car les sujets ont accès à la culpabilité, savent douter et ont toujours une pensée réaliste (sauf "bourrés" ou sous l'emprise de substances). Face à l'autre, ce sont des personnes responsables. Leur mécanisme de défense est le refoulement.
C'est une structure rigide, qui amène les sujets dans une absence de culpabilité. Ils ont tendance à faire douter l'autre et être en déni de la réalité. Ils peuvent basculer, en cas de décompensation, dans la structure de psychose. Face à l'autre, ce sont des personnes non responsables. Leur mécanisme de défense est la projection sur l'autre. Selon les auteurs et pays, entre 6 et 12 % de la population aurait une structure psychique de type État limite. Bien sûr, en prison, et en cabinet de consulation, ce chiffre augmente.
C'est une structure fragile, dans laquelle les sujets ont des pensées en partie délirantes, dans leur logique bien à eux, avec perte de contact avec la réalité. Cela occasionne beaucoup de souffrances pour eux et leur entourage. En cas de décompensation, ils peuvent passer à l'acte et devenir violent contre les autres ou eux-mêmes. Leur mécanisme de défense est le clivage. Environ 3 % des individus connaitraient un passage psychotique dans leur vie (sans forcément avoir une structure de psychose).
Formation Psychopathologie (12 jours)
Une seule formation par an, au printemps, en trois fois 4 jours de ...